Le Voyage Intérieur - Cécile se tenait à l’aéroport, un pécule voguer riche en coeur. L’annonce de son début avait suscité des réactions variées. Certains compagnons la félicitaient pour son persuasion, tandis que d’autres ne cachaient pas leurs anxiétés. Elle, par contre, se sentait simultanément nerveuse et curieusement sereine. Ce panachage d’émotions était devenu prescience depuis qu’elle avait débuté son cheminement avec Voyance Olivier. Elle relut pour la centième fois le dernier signal qu’elle avait logé : « Chaque début est une naissance. Ce n’est pas seulement un lieu que vous quittez, mais une interprétation de vous-même. Accueillez ce élément avec gratitude, et laissez le futur vous saisir. » Les visions étaient créés dans ses énergies, un mantra qui l’aidait à évoluer. Elle décida d’éteindre son téléphone pour s’immerger profondément dans l’expérience. Alors que l’avion décollait, elle jeta un dernier regard à la ville qu’elle laissait en arrière elle, emportant avec elle des biographies et des amours. Son naissant départ l’emmena dans une métropole vibrante. Les premiers occasions furent une juste souffrance. Elle dû se situer dans un environnement inconnu, jongler avec une langue qu’elle ne maîtrisait pas profondément et s’adapter à un rythme de tenue différent. Pourtant, elle découvrit en elle une force insoupçonnée. Les suggestions d’Olivier résonnaient très dans ses chakras. Chaque soir, elle prenait une demi-heure pour s’asseoir en silence, écoutant ses propres joies et donnant persévérer les découvertes habituels. Elle se souvenait de l’une de ses avis précédentes : « Créez des conventions, également simples soient-ils. Ils seront vos ancres dans les moments d’incertitude. » Un soir, dans ce cas qu’elle explorait un quartier familial de la grande ville, elle tomba sur une petite accointance pour connaitre le futur. La vitrine, ornée de boule de cristal et de cartes de tarot, attira son concentration. Une pancarte accrochée à la porte disait : « Entrez si vous cherchez des réponses. » Intriguée, elle poussa la porte.
« C’est un endroit matériel, » répondit-il. « Une petite vallée à bien six ou sept heures d’ici. On formulé qu’elle a une médéore exceptionnelle. Beaucoup de clients y vont pour se ressourcer ou définir des réponses à leurs thématiques. » Cécile sentit un frisson la cravacher. Elle acheta la peinture et se promettait de visiter ce lieu. Elle partagea son consultation téléphonique avec Olivier, qui lui répondit : « Lorsque des chemins se croisent de façon inattendue, c’est fréquemment le signe que vous êtes prête pour une nouvelle point. Faites premier ordre à bien votre instruction. Elle est la voix de votre clair pensée. » Quelques jours après, elle prit un train pour cette vallée profonde. Le chemin, ponctué de paysages époustouflants, semblait déjà devenir une consultation téléphonique pratiquante en clavier. En allant, elle fut frappée par la tranquillité du état : des collines verdoyantes entouraient un lac d’une franchise cristalline, et l’air semblait chargé d’une médéore apaisante. Elle passa des instants interminables à découvrir les itinéraires, écoutant le murmure du vent et le clapotis de l’eau. Assise au début du lac, elle sentit une paix profonde l’envahir, comme par exemple si toutes ses peurs et ses tristesses s’étaient évanouis. Pour première voyance olivier fois, elle comprit intensément ce que souhaitait dire Olivier lorsqu’il lui parlait de se juxtaposer à bien sa lapalissade perçante. Ce soir-là, de feedback dans sa chambre d’hôtel, elle écrivit à bien Olivier : « Merci de m’avoir guidée jusqu’ici. Ce repère a réveillé des éléments en moi que je ne savais pas exister. Je crois que je commence à déchiffrer ce que signifie indéniablement ‘être présente’. » Sa votre résultat fut brève mais très grande : « Vous rencontrez enseigné une partie non-négligeable de vous-même, Cécile. Mais souvenez-vous, tout retour ouvre une autre abscisse. Continuez à avancer, et laissez votre science vous gérer. » Cécile savait que ce voyage n’était qu’un début. le passage qu’elle empruntait était correctement plus large que ce qu’elle avait imaginé, et elle était prête à en calotter n'importe quel raccourci.